HRP: Je te prie de m'excuse, car vu que mon ordi est en reparation, je doit utiliser la tablette, et je ne peut pas mettre les accents. Je corrgerait quand je le recuperait. Je vais mettre des 'er' pour remplacer.

Je me leva de ma chaise qui emettait un horrible grincement, que la plus part de ces chochottes de filles faisait. Je me deplacas a coter d'elle sur le rebord de la fenetre. Je la regarda fixement avec une expression qui m'etait bien attribuer, un regard semis noire. Je posa ma main droite sur le coter du rebord de la fenetre et lui lanca:

'Ecoute, moi, j'ai pas choisit de vouloire faire se soutien. Alors pour commencer arrete de faire la fille exasperer par la situation. Ca devrait plutot etre moi d'etre exsaperer, se faire aider par une fille, et surdouee en plus!' Lui dit-je

Je sortit de la poche avant de mon sweat mon telephone portable ainsi que mes ecouteurs. J'en placa un dans mon oreilles gauche et laissa pendre l'autre sur mon torse. Je me baissa pres des genoux de cette Osaku Miyazaki (je la sait parceque le prof' avait fait l'appel). Un petit chat qui ne m'aimait pas beaucoup ce dressait sur les genous de la fille. De beaux poils soyeux, et des yeux en amandes et de petit poil blanc sur son 'manton' si je puis dire. Il avait beau me griffer, mais j'etait habitue a me faire griffer par ma chatte, Morphine. Je lui grattait le manton alons quele se tordait dans tous les sens pour me mordre le poignet.

'Il s'appelle comment? Et quelle est sa race?' Demandait-je a Osaku.

J'etaittres haureux de pouvoir caresser un chat dans le college, cela devrait etre interdit, mais... Je me mks a regarder Osakuqui etait tres mignonne malgrer son jeune age. Elle aussi avait de beau cheveux blonds et des yeux bleu a n'en plus finir.

Non je ne m'était pas assoupie, je fermait les yeux car j'était fatiguer. Je sentit Lubi me bondir dessus mais sa ne duras pas très longtemps. J'entrouvit mes yeux et vit Osaku glisser quelque chose dans son sac. Après quelques minutes, j'ouvris les yeux en grand et aperçue les cheveux blond de Osaku onduller en passent par le fenêtre. Suivit des pattes de velours de Lubi. J'ouvrit alor mon sac besaçe et laissa partir Morphine du sac. Morphine et une norsk skogkatt, une race de chat norvegien, j'adore son corp avec ses poils doux et soyeux. Elle a des poils ñi long avec un colerette de poils. Ses oreilles sont vers l'avant. Enfin, je l'adore il ne lui fallut pas longtemps pour dénicher l'odeur de Lubi. Morphine se mise a se frotter contre le sac de Osaku. Je me dépéchat alors de l'ouvrir car j'avais quand même envie de voir ce quelle y cacha tout â l'heure. En faite je pense que c'est ls tablette aui était mal rangé. Je la pris dans mes mains et regarda ce qui avait bien pu la mettre aussi mal a l'aise. Le personnage dessiner était blond, yeux bleu, oreilles de chats... c'est pas moi par hasard?! Je couru vers la fenêtre posent mes mains sur le rebord regardas dans tous les sens. Morphine se glissa a côter de moi et se mis â descendre du cerisier. A mon tour je la suivit un légère odeur de fleurs de cerisier montait a mon nez, une odeur délicate et joyeuse. Je jeta un regard en bas et vi Osaku me tirer la langue. Je sauta d'un bond de l'arbre tel un félin et arriva accroupit a côter de Osaku. Je l'entouras de mes. Et lui dit 'Tu sent bon Osaku.' Avant de la coller contre l'arbre. 'Ou compte tu aller comme sa? ' lui dit-je avec un sourir narquois, j'enlevas l'écouteur que j'avais dans l'oreille et le remis dans ma poche.

' […] Pas la moindre envie de travailler!'

Bon, c'est vrai que je n'en avait pas envie, pas spécialement… elle se mit à rougir et a regarder ses baskets une grande vague de frisson m'envahit dans tous les recoin de mon corp. Sescheveux blond ondulait et faisait des vaguelettes en suivent le vent, des reflets dorées. Ses yeux brillait d'une intelligence calme et douce.

' […] Je peux y aller? !'

Me jeta-elle a la face, toujours le visage aussi rouge. Je pouvais entrevoir quelle se mordait les lêvres avec ses canines. Après ce moment là, un grand moment de silence cefutsentir, plus un mot on pouvaitentendreles alentours, les enfants rigoler, les ballon touché le sol. Osaku mefixa puis tout a coup son corp menuglissa dos contre l'arbre. Elle mis ses bras croisés et glissat sa tête dans l'ouverture quelle avait faite avec ses bras.

'Ce numéro ne marche pas avec moi, et puis j.'en aime une autre, mais vuque toi aussi tu aimes. Les makis je vais être simpa.

Aller Miss Osaku, lui glissait-je dans l'oreille en me baissant a coter d'elle. Je glissa mes bras autour de sa taille et hop j.'était deboutet elle dans mes bras. Je lui sourit et iuvrit la porte duselfavec mon dos. Je posa Osakusur une chaise a une table de 4 personnes. Je dit bonjour au chef que jeconnaissait car il habitaitdans le même immeuble que moi. Je pris deux assièttes de différentes sortes de sushis sans oublier les makis. Et mes posa a le table ou j'avais déposé Osaku et m'assis a mon touret entamment mes sushis.

'Alors ça va mieux? Manger sa redonne toujours la pèche… Dit moi tu ne connaitrait pas Aoki Hase par hasard?

*Il en aime une autre? Tient mais c'est que ça devient intéressant cette histoire, je me demande qui ça peut-être*
Il me prit dans ses bras et m'emmena à la cafétéria, j'avais presque l’impression d'être une poupée, tellement je paraissais ne pas peser dans ses bras, cela lui sembla tout naturel lorsqu'il me posa sur une chaise.
Pendant qu'il alla chercher des sushis et des makis je ne cessais de retourner la même question dans ma tête: qui aime t-il?
Je me rendis vite compte que j'aime finalement bien me mêler de la vie amoureuse des autres, et je souris en pensant que cela devait être très agaçant pour les autres. Il déposa une assiette devant moi et il s'assis,
*Bah, de toute façon, si il aime les Makis c'est quelqu'un de bien.*
J'allais lui souhaiter bonne appétit lorsque ses paroles fusèrent, j'ai eu presque l'appétit coupé, je me retournais lentement vers lui, une expression horrifiée peinte sur mon visage.
Et sans même prendre la peine de macher mes mots je criais:
"Quoi?!"
Me rendant compte de mon impolitesse je baissais d'un ton et lui dit dans un sourire sarcastique:
"hein, je vois... Alors c'est elle ta pauvre victime! et bien oui je la connais, c'est même ma voisine de chambre."
et je continuais dans ma tête:
*Pauvre Aôo-chan, d'ailleurs ça fait un bout de temps que je ne lui ai pas parlé*
Nous avions à peine commencé de déjeuner, mais j'avais des projet pour après notre repas.
"Merci Hideo, bon maintenant..."et sans même finir ma phrase je l'entraînais vers le dortoir des filles.

Of course peut-être que Aôo-chan pourrait se joindre à nous ;)