[Il faut avouer que je n'avais pas trop d'idées comme commencement. :S et donc je compte sur vous pour mettre ce fameux cri de guerre ;)]


Mon levée fut mouvementée par un orage et une pluie ruisselant sur les carreaux de la chambre. Cet pluie était égale à: On ne pourra pas profiter d'une journée dehors, à se reposer en dorant au soleil. C'était belle et bien un malheur... Tout en regardant autour de moi dans ma chambre, je vis que j'étais la seule levait dans la pièce. Je ne pouvais pas rester car mes occupations les auraient réveiller et puis d'ailleurs, je préférais être seule.
J'avais mal à la tête et je décidai donc de descendre prendre un petit déjeuner à la cafét'. Je fermais la porte à clé, laissant mes colocataires dormirent encore, après mettre habillait d'un jean, d'une chemise blanche où une cravate dé-serrait de couleur noir aux motifs blancs trônait. Mon blouson mit, je marchais pas à pas dans l'escalier. Beaucoup de personnes descendaient aussi et allaient soit en ville en groupe, soit dans des endroits de loisirs. Dont un, où j'entrai, car je ne l'avais encore pas visité. La bibliothèque des lycéens. Elle était grande, majestueuse et les bibliothèques en colonnes défilaient comme des soldats. Elles faisaient 2 mètres de haut. Je m'y engouffrais, très intéressait par le labyrinthe de livres qui s'offraient à moi. Dans une bibliothèque normalement, aucun bruit ne devait se faire, mais là, beaucoup de personnes parlaient comme si s'était pièce conçut pour ça. Il est vrai que cela devait être comme ça dans cette académie et pourtant, cela me semblait bizarre. Une grande porte se trouvait au fond de la ranger là où je me trouvais. Je décidais d'y entrer.

C'était une pièce assez circulaire et je n’eus aucun problème à éviter les gens. L'endroit était particulièrement approvisionnait en chaises et en tables dont nombreux adolescents en occupé la place. La pluie tombait toujours aussi forte et les éclairs fusèrent toujours aussi nombreux. Je pense que les personnes se trouvant dans cette pièce, c'étaient réfugiés ici par ce fameux temps. Je ne fus donc pas étonné de voir certains groupes qui voulaient, au début, partirent en ville et se retrouvaient ici à discuter à une table sans rien faire. Ne sachant où me mettre je me promenais sans rien de mal. Je m'arrêtai et regardai les tableaux qui étaient sur les murs. J'étais trop proches pouvoir l'étendue d'un de ces tableaux et je reculai de quelques pas, sachant que cela pouvait être dangereux étant avec beaucoup de monde. Et cela ne manqua pas, je trébuchai en arrière et je tombai sur mes fesses en me cognant la tête.
Quelqu'un s'excusa, mais encore sonner, je ne sus qui c'était. En tout cas, d'après ce que j'avais compris de celui qui avait provoquer l'accident, était qu'il avait reculer la chaise et que j'avais trébuché sur l'un des pieds de la chaise. Je me levai. J'étais retournais dans ma bulle, froide, glaciale. Cette journée avait déjà un mauvais temps, pas la peine de l'aggraver. La personne posa une main sur mon épaule mais je refusais d'être toucher et fis un geste brusque qui la fit changer d'avis. Après mettre remis de ma surprise, je regardai enfin ce fameux pas doué qui était à l'origine de mon comportement. C'était plutôt une fille. Une fille que je connaissais bien. Qui m'avait fait tomber dans la piscine à mon arrivée. Qui avait un caractère impulsif, dénommée Osaku Miyasaki!
Même si elle m'avait fait tomber dans l'eau en plein mois de Février, donc en clair dans de l'eau glacé. C'était tout simplement par accident. Elle devait un peu me connaître avec le temps. Je la contemplais, sans le moindre mot. Elle aussi d'ailleurs. Elle devait aussi repenser à la première fois que nous nous sommes rencontrer. Je la regardais d'un air blasé, puis je lui parlai de ma voix froide:

-Bien le bonjour Osaku"

Je ne voulais pas qu'elle se sente froissée car ce n'était pas vraiment mes attentions de caractère. J'étais, comme je l'avais dit, dans ma bulle, et je ne pensais qu'à ces deux accidents qui étaient accidentel, ne l'oublions pas, mais bon. Elle semblait réfléchir tout en me regardant. Ces cheveux blonds étaint toutes aussi lumineux qu'un soleil que ces yeux d'un bleu de très haut ciel. Je ne savais pas quoi dire. Ma bouche restait fermer. Je n'osais pas m'excuser de mon comportement et j'attendais ce qu'elle allait me dire avec appréhension.


[Eh bien voilà ce RP. Gumi et Osaku, vous pouvez y répondre :P]

[HRP: Excusez-moi pour le RP que je viens de remplacer maintenant, je n'avais pas remarqué qu'il posé problème...]



Osaku me quitta pour aller enregistrer ses livres, j'avais descidé de l'attendre, par politesse. En sortant mon yoyo, je la vis approcher du bureau et à ce moment là, la bibliothèquaire hurla d'un cri qui me fit lacher l'objet que j'avais dans la main. Punaise! Ils disent que les bibliothèques doivent être silencieuse mais là, venant d'un adulte, ils exagèrent! Tandis que je me baissais pour reprendre se qui était tombait par terre, je ne pus m'empêcher de penser que j'aurais mieux fait de ne pas venir ici... Pour le moment, je crois que j'allais foutre en l'air, ma journée. Pour montrer ma frustration, en relevant la tête, je me montrais de marbre... A ce moment-là, je vis Osaku revenir sa pile de livres. Elle la tenait que d'un côté et je ne comprenais pas pourquoi elle ne la tenait pas dans ses deux mains. Quelqu'un s'approcha d'elle. C'était un garçon, au cheveux sombre qui prit de la main libre d'Osaku, un objet que je n'avais pas encore identifié... Il s'approcha de la fenêtre et le jeta dehors. Il revint ensuite de nouveau vers Osaku et lui parla avec froideur:

- Evite de créer plus de bruits, ta piger !?



Je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait et je descidais de rester en retrait... Pourtant au lieu de faire ça, je m'approcha de lui et lui lança mon regard le plus noir... Dans ma tête, je me disais d'un ton plaintif:

*Pourquoi j'ai fait ça! Pourquoi j'ai fait ça!*

Je le regardais toujours sans vraiment le voir, comme si je voyais à travers. Puis me retournant vers Osaku, je lui pris le premier livre de sa pile et commença à le feuilleter. Je lui glissa:

- Qu'est-ce qui se passe?

Je lui avais demandé ça pour que d'une certaine façon je me défile pas car je faisais parti du cercle de la discution, mais j'étais dans un bouquin et je le faisais un peu. Je me demandais qui était ce nouveau venu et je ne comprenais pas le cri de tout à l'heure par la bibliothèquaire et la phrase que le gars avait prononcé. J'avais bien raté quelque chose et je voulais savoir quoi... Donc je restais silencieuse, un peu entre eux attendant qu'ils se parlent pour constater la situation.

[Hors Rp: s'il te plaît Tedushi, n'écris pas la réaction des autres, c'est à eux de le faire]

Bien vite, le rongeur me fut arraché des mains par un garçon qui me paru très grand.
Il le jeta par la fenêtre sous la pluie sans prêter attention aux indignation de la pauvre souris, il m'ordonna comme à une petite fille de me taire.Bizarrement, je ne fis rien, je ne répondis rien, je restais là à le regarder hébétée. Pourtant je pensais des choses que j'aurais pus lui lancer à la figure, lui reprocher son impolitesse pour commencer, mais aucun son ne franchi mes lèvres.
C'est Tedushi qui réagit, les mots qui sortaient de sa bouche, claquaient comme un fouet.
*Whow, c'est Tedushi là?*pensais-je et regardant le garçon se lever.
Le coup que je donnais au garçon fut un réflexe soudain, il se mit a ricaner. Malheureusement la bibliothécaire arriva. Et nous nous retrouvâmes au fond de la bibliothèque,les bras chargés de vieux livres poussiéreux à ranger.
Le garçon froid, assis nous regardait cherchant la place de chaque ouvrages. Visiblement agacée, Tedushi le rejoignit.
Suivit de moi, fronçant les sourcils je les regardais tour à tour.
Franchement, c'est quoi vôtre problème? Vous croyez que ça m'amuse de devoir faire de l'escalade sur les rayonnage pour ranger un livre que personne ne lira jamais et qui donne des allergies?
Contrairement à vous, je ne mesure pas deux mètres de haut!leur lançais-je finalement et posant violemment un ouvrage sur l'astronomie du XIXème siècles qui manquait de tomber en poussière. Puis je m'assis sur la table sortis mon calepin commançais l'esquisse d'un paillon posé sur une Iris.

Faudrait aussi que Osaku, change, vu que Tedushi a changer non ?

PFF ouai mais c'est un c'est chiant là... Pour moi quand on fait un rp, si d'autre y réponde on le modifie pas, dans la vrai vie tu fais pas des retour ne arrière parce que t'a fais une gaffe non??

Bah ta plus trop le choix maintenant --'