Lelouch Lamperouge HumanMessages : 26Date d'inscription : 27/02/2012 Sujet: White rose Lelouch Lamperouge ( FINIT ) Lun 27 Fév - 16:03 Fiche de présentation
NOM DE VOTRE PERSONNAGE
Nom & Prénom : Lelouch Lamperouge Son Surnom : L.L, Lulu Age : 18 Type : (Vocaloïd ou Humain) Humain Sexe : M Orientation Sexuelle : Hétéro Activité : Etudiant _________ Impression du forum : Cool ^^ Comment nous a tu connu : Hasard *O* Code du réglement :
Description physique 5 lignes minimum Bon le plus classique, je mesure environ un mètre quatre-vingt ( à quelques centimètres près. ) pour un poids de soixante-dix kilos et des poussières. Mon visage est assez mignon, si je devais le juger de manière générale. D'autant plus que j'entends souvent ça de la part des personnes du sexe opposé. Moi personnellement, je n'en pense trop rien aussi faux ou vrai cela soit-il. Mais parlons de moi et non ce que l'on dit sur moi. Mes cheveux sont sont toujours bien placés, avec notamment deux franges symétriques plus une troisième venant donner une touche de beauté si on peut dire. Mes cheveux sont de couleur noire, ce qui me donne droit souvent à des qualificatifs que je trouve ridicule, bien que marrant par moment, avec pour exemple, « Beau ténébreux ». Enfin, même si mes cheveux font « sensation », ils sont loin d'avoir la même ovation que mes yeux. Oui en effet, ceux-ci sont ce que je peux appeler mes « armes fatales ». Ils sont de couleur bleus foncés, bleu marin. Pour le reste, ce n'est pas très important, j'ai un nez assez fin, pas pointu, pas gros, simplement normal. Et pour finir une bouche fine aux lèvres rosées donnant envie de succomber à la tentation. Passons un peu plus bas sur ce qui fait un peu le tout. Le corps en général. Mes bras et mes jambes sont assez fines. Pas de muscle digne de mister univers, mais des membres légèrement musclé montrant un équilibre évident entre chaire et muscle. Mon torse lui par contre est entretenu sans tricheries. Je possède quelques pectoraux qui torse nu se laissent voir. Pour ce qui est de la tenue, j'arbore souvent un juste au corps avec un pantalon classique le tout avec par dessus une veste souvent marron. Bien que ma couleur préférée soit le rouge rubis. Bref faire une conclusion je prend soin de moi mais je ne m'exhibe pas non plus. Malgré un physique avantageux aux yeux de certains il ne pas le cacher, je ne me vante pas trop car cela ne sert à rien
Description du caractère 5 lignes minimum Moi mentalement ? Et bien pourquoi pas, si cela peut vous permettre une approche plus subtile à mon égard. Je ne suis pas quelqu'un de facile aux premiers abords, alors profité de ce petit cadeau, ce pass que je vous fais. Ne me jugez pas uniquement à mon physique, celui-ci étant plus que trompeur. L'habit ne fait pas le moine et cela est bien vrai. Car, en me regardant de plus près vous vous dites quoi ? Que je suis un garçon aux côtés aguicheur ? Qui aime bien séduire ? Qui n'a aucun scrupule à enchaîner les conquêtes et qui mène tranquillement sa vie ? Et bien vous avez tout faux. Voici comment je suis vraiment : Ce qu'il faut savoir, c'est que la mort de ma soeur m'a ...traumatisé. C'est un sujet très tendu chez moi, n'aimant pas parler de moi comme ça, gratuitement. Je vous conseille d'avance de garder vos questions à ce sujet dans votre tête plutôt que de tenter le diable. Ce sujet me touche énormément et même si je n'en parle pas, ou ne le montre pas, j'en souffre intérieurement. Seule une personne pourra me retirer ce poids du coeur. Celle qui l'obtiendra. Je porte d'ailleurs toujours sur moi une phot d'elle et moi ainsi qu'un pendentif om réside une photo d'elle. Passons à la suite, outre ce côté un peu faiblard à cause d'une sale histoire, j'en reste pas moins actif. Je pète toujours la forme, cela se voit rien qu'en m'observant et en voyant se sourire qui montre malgré tout ceci une joie de vivre presque inégalable. Mais là encore tout ceci n'est qu'une illusion. Du moins le sourire n'est qu'une illusion. Je pète effectivement la forme. Mais pour mes sentiments ou émotions. Je suis un vrai comédien. Le vrai moi est quelqu'un de joueur, ceci est mon principal trait moral. Joueur, comédien, clown, voilà ce qui me désigne le mieux. Pour moi la vie n'est qu'un jeu. Où souvent on dit « pile je gagne, face tu perds. » telle est ma philosophie. Du jour au lendemain tu peux gagner comme perdre, cela est dans la logique des choses, sauf pour moi. Je n'aime pas perdre et cela se sent, avec souvent, des sautes d'humeurs qualifiables d'excessives, ou autre comportement parfois futiles même si au fond ils peuvent être marrant. Je ne compte que sur moi-même et j'accorde ma confiance qu'à ceux que je juge intéressant. Qu'est-ce-que quelqu'un d'intéressant à mes yeux ? C'est pourquoi une personne similaire à moi, quelqu'un qui n'abandonne pas malgré le fait que ce soit joué d'avance, limite qui fonce dans le tas même si les chances de gagner sont faibles. Comment je fais pour voir ça ? Avez-vous déjà joué aux échecs ? Et bien vous devriez. Ce jeu anodin permet de voir pleins de choses sur la personne. Bref outre ceci, malgré ce côté comédien, qui se cache, j'aime bien passer du bon temps. Profiter de la vie et rechercher des gens intéressants, partager des choses sans trop partager. Recevoir sans donner. On peut dire ça comme ça, mais je ne suis pas si égoïste. Mais bon, me voir donner gratuitement sans que cela m'apporte quelque chose de près ou de loin, cela est rare. Après, outre mon côté joueur, je ne montre pas trop mes sentiments restant souvent neutre.
Ses goûts Ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas Ce qu'il aime ? Par dessus tout sa soeur. Mais elle n'est plus... Outre ceci, il aime comme fruit la pomme. Comme couleur, le vert et le violet. Puis comme animaux, les chats. Son secret ? un amoureux fou de la poésie. Ce qu'il déteste ? Il ne craint qu'une chose... La solitude
Histoire 5 lignes minimum Hey brother !!! Tout commence un soir d'hiver. La neige elle tombait doucement ce soir là, une demoiselle regardait dehors, pensive. Ce soir là, dans la famille Lamperouge, un enfant allait naitre. Une demoiselle allait être sœur par la même occasion, mais à cinq ans, on ne comprend pas énormément ce genre de chose. Plusieurs cris, des bruits dans la maison puis enfin... Le calme. La demoiselle montait alors avec précipitation puis , finit par entrer dans la chambre. Monsieur et Madame sont là, tenant un nouveau né dans leurs bras... Vous l'aurez compris, je suis né. Le 12 Décembre. Mon regard bleuté se posait un peu partout, fixant ce regard rubis qui se plongeait dans le mien. Mes cris de nourrisson se calmant rapidement. Comme du ce regard me calmait. Ce soir là de petites paroles sortaient d'une bouche, celle de la sœur restant gravé dans le temps. " Je prendrais soin de toi...onii-kun". Suite à cette soirée, une nouvelle vie commença pour la famille Lamperouge. Lelouch apportant du bonheur a toute la famille. Every dream have a end !!! Le temps s'écoulait, je grandissais lentement, découvrant le monde, me faisant une personnalité, bref, le propre de la vie, bien que j'avais le luxe d'avoir droit à un petit plus, l'amour d'une sœur. Elle et moi, on s'entendait très bien, elle, elle avait cinq année de plus que moi, elle était comme un professeur avant les professeurs, elle me donnait des conseils, elle m'aidait, bref, elle m'appuyait un peu chastes jours. Puis moi je lui rendais ce plaisir. Malheureusement, ce genre de relation finit toujours disparaitre car au départ, on s'aime car on vie dans le même monde, mais ce monde de dissous avec le temps... Tout allait bien, elle et moi on s'entraidaient, on était comme deux coeurs pour le prix d'un, rien ne pouvait nous abattre, chacun vivant pour l'autre. Les pensées changent, on n'a plus les même centres d'intérêts bref... Tout se casse, parfois. Mais dans notre cas... Cela est arrivé. Notre unions fraternel a connue son apogée, maintenant.... C'est âgé de dix ans que j'allais connaitre la récession de notre relation... Le moment, où comme souvent, les frères et soeurs se déchirent pour une raison ou une autre. Surprise !!! Tout commence un soir. Alors que je rentrais, les temps se faisaient anodins, tour devenait fade. Les jours se ressemblaient, mais il y avait un bémol. Haku, ma sœur, devenait comme froide. À mon égard. Je ne savais pas pourquoi, mais je sentais comme un truc. Elle m'évitait, moi, son frère. Cela depuis quelques mois. Mais en ce soir, je comptais comprendre. J'en avais assez de faire celui qui ne voit rien, celui qui accepte tout, là j'allais percer à jour la mentalité de ma soeur, j'allais comprendre quoi qu'il arrive. Après avoir poussé sa porte, la demoiselle se retournait vivement, raccrochant immédiatement son portable, visiblement en train de parler de choses tristes ou autre. Des larmes aux yeux. Je m'avançais lui demandant comment ça allait. Me prenant une phrase assez...Significative annonçant la couleur. " Si ça va ? J'ai l'air d'aller bien ? Laisse moi s'il te plait... Retourne près de tes amis puis fiche moi la paix..." Suite à ces mots, elle me balança presse dehors. Ainsi donc... Elle avait une sorte de jalousie à mon égard ? Je ne comprenais pas pourquoi. Mes réponses ne seront dévoilées que quelques années plus tard. La temps passait encore, les année se succédant, deux années pour être précis . Âgé de douze ans, je regardais ma soeur, une femme formidable devenu glaciale avec moi, comme avec la plupart. Je voyais la demoiselle qui m'a toujours inspiré, celle que j'admirais, devenir seule, triste et sans goût. Elle s'isolait, elle se coupait au monde peu à peu, se suicidant en silence si on peut dire. En moi, un sentiment de culpabilité se faisait sentir, je m'en voulais. Apprenant souvent les histoires d'Haku. Notamment des histoires de coeur qui finissaient mal. La demoiselle déchainait les passions de ces mâles et comme en manque d'affection, elle se voyait souvent forcé d'accepter, trouvant cela chanceux de sa part, mais là... Elle ne faisait que servir de coup d'un soir. Les hommes préférant son corps, à sa mentalité, qui pourtant à mes yeux est d'or. Par la suite, la demoiselle alla à une université connue, proche de la maison, tandis que moi, j'avais quinze ans. C'est là que tout éclata. Les parents commençaient à nous comparer ce qui ne plu pas à Haku. Pourtant, moi je n aimais pas ça aussi... Un soir, je tenta de calmer haku, mais là tout éclata. " Tu es content ? Tu es l'exemple de la famille et moi le poids mort de la famille..." " Mais ne dit pas ça... Ignore les... On s'en fou de ça." " Tait toi... Tu as toujours été meilleur que moi..." Ne dit pas ça Haku. Regarde toi, tu es étudiante en droit, bon nombre aimeraient être à ta place, papa et maman soit fier de toi. " Tu ne comprends pas Iru... Tu as toujours été le meilleur... Petit, tu attirais tout les regards, moi je passais au second plan, pourtant je m'en fichais. Mais tu ne voyais rien et ça... ça me blessais. Tous me laissaient tomber... Mais toi non....Tu étais l'aimant à tendresse." " Mais non Haku.... Ne dit pas ça... Je... " TAIT TOI.... À cause de toi, je ne suis qu'une ombre.... Je ne suis personne, je ne suis plus personne.. Au final, je me rend compte que... Qu'avant j'étais bien maintenant je.... JE TE DÉTESE....VOILA" Suite à ces mots, je me tut. Après tout, que dire ? Elle quitta la pièce ayant mis les choses au claire. Elle me détestait et moi, je m'en voulais. Tout ce temps, je l'admirais en silence, sans pour autant profiter de ce bonheur qu'on m'offrait, ces compliments, ces ovations, rien ne m'atteignais. Mais elle, cela la blessait et maintenant que je savais ça... Je m'en voulais. Des années passèrent, j'avais beau essayer, je n arrivais pas à retrouver l'Haku de toujours, celle qui prenait soin de moi, celle qui n'aimait qu'une chose, voir le sourire des autres avant de laisser voir le sien. Son ton toujours hautain à mon égard, son regard froid.... Un mur se trouvait entre nous désormais, un mur que je voulais escalader, mais un mur impossible à passer malgré ma bonne volonté. Sorry !!! Tout se régla et changea un soir. Alors que la demoiselle m'avait annoncé son départ pour un autre pays, pour ses études, je me dirigeais vers son appartement. La demoiselle m'ayant donné rendez vous. J'étais impatient de la voir car dans sa voix, j'avais noté comme un ton spécial, le faisant penser a une possibilité de retrouvailles et de pardons. Elle était comme heureuse et voulait m'annoncer une chose autre que son départ, je le sentais. Je n'avais que dix-sept ans cette année là. Nous discutâmes longtemps puis il y eu ce moment d'émotion, incapable de prononcer le mot pardon, du moins je suppose, elle couru alors ne regardant pas où elle allait. Puis là vint le moment fatidique de ma vie. Alors que je lui courais après pour l'arrêter, la demoiselle traversa une rue et là.... Une voiture passa, les feux se dessinaient sur la route, mais rien n'y fait. Son corps quitta un bref instant la terre ferme, elle fut projeté plus loin, retombant lourdement sur le sol devant mes yeux. La voiture ne s'arrêta qu'un bref instant. Puis celle-ci partit, le conducteur sûrement affolé. Délit de fuite.... Voilà ce qui se passait, mais que pouvais-je faire ? Prier le bon dieu et espérer un retour en arrière miraculeux ? Allons, un peu de réalisme. Je m'avançais doucement, tremblant comme une feuille morte. Son corps était inerte, du sang sortant de sa bouche. Son regard cherchait une chose, une voix répètent mon nom. Une voix venu du passé, la voix que je n'avais plus entendu depuis cet avoeux de haine. Pourtant si faux. Je pris une main puis appelais les urgence. Me voilant la face, son état était critique, mais je voulais y croire. Malgré ça, elle me souriait, sa respiration calme, sûrement acceptait-elle son sort, que dis-je. Son triste sort. Mon yeux commencèrent à s'embuer, je l'écoutais parler de sa voix devenu cristalline. " Iru ?... Pourquoi tu pleures ?" " Haku... Tu..." " Chuuut.... Ne pleure pas pour moi... Au fond... Je le mérite non ? " " NON... Tu ne mérites pas ça...Pas de mourir ainsi... Tu mérites une mort normale, comme les autres... L'âge rien de plus... " " ... Pourquoi tu... Dit ça... Après tout ce se je t'ai fait ? "Parce que tu es ma sœur Haku... " Son air ne changea pas. Des perles cristallines de formant au creux de ses yeux. Elle passa une main sur la joue puis la laissa de nouveau tomber au sol. Son sang continuant a couler le long de ses lèvres. Son sourire devenant triste. Je ne voulais pas la voir mourir, pourtant, on ne peux pas empêcher la faucheuse de faire son boulot, aussi ingrat cela soit-il non ? " Je suis désolé.... Je me suis comporté comme une idiote... J'ai été jalouse de toi... Depuis toujours, je t'enviais, je n'ai jamais eu les mêmes amis que toi... Et je me disais que c'était pas juste.... Mais au fond.... Je t'aimais, comme une folle je t'ai toujours aimé, malgré mon regard givré, malgré mes mots durs.... Mais toi... Tu..." " TAIT TOI HAKU.. « ... » " C'est moi qui suis désolé Haku. Depuis toujours.... Je t'admire. Tu sais.... Depuis toujours, je ... Je Voulais être comme toi. Moi aussi je t'aime n'en doute pas. Si ça ne tenais qu'à moi... Je te donnerais ma vie... " " .... J'ai vraiment été idiote et maintenant... Je vais mourir....Bêtement, moi qui ne voulais que ton bien, j'ai l'air idiote ainsi, à pleurer, crachant du sang, te regardant... Impuissante..." « Ne dit pas ça.... On va t'aider, tu iras a l'hôpital puis tu vivras.... On sera de nouveau ensemble puis cette fois on....changera.. On effacera le passé puis on pourra aller de l'avant... » Son doigt se posa sur mes lèvres, l'air triste, elle cligna des yeux. Laissant ces perles couler le long de ses joues. " Iru... Ne t'enferme pas dans une illusion... Mon destin est scellé désormais. J'ai toujours été faible et toi fort.... Ne pleure pas pour moi. Dit toi juste que je t'aime, puis sil te plait... Vie ta vie , mais, souris pour moi... " « Haku... Je refuse de vivre sans toi... Qui me guidera ? Qui me donnera des conseils ? Qui ? Répond moi pitié... » « Derrière ce petit garçon... Se cache un homme qui sait ce qu'il veux... Tu trouveras quelqu'un... Comparé à moi qui n'ai jamais été doué dans le domaine... Tu trouveras quelqu'un qui te guidera... Puis tu m'oublieras... Tu n'auras plus besoin de ta chiante de soeur... » « Non... Je ne t'oublierais jamais, parce que une soeur, ça ne s'oublie pas. Tu as toujours été là pour moi et je t'en suis reconnaissant... S'il te plait... Bat toi.. » « Je suis navré Lulu... J'aurais voulu te faire plaisir une dernière fois... Mais... Je suis si faible... » « NE DIT PAS ÇA... Tu es un temple fait de marbre solide, tu es la beauté même et la force …. Ne m'abandonne pas... Je t'aime Haku... » « Ne m'en veux pas Lulu... Aishiteru... Gomene... » Suite à cela, la demoiselle serra ma main fermant les yeux doucement. Le spectacle finissait enfin, le rideau tombe, tout le monde applaudit. Ou pas... Ma propre soeur venait de mourir devant mes yeux, se confessant avant sa mort, à moi, son frère. Je m'en voulais. Suite a tout ceci, je hurlais son nom, prenant son corps dans mes bras. Je la serrais fortement, comme on le faisait avant. Mes larmes étaient plomb, mes cris des hurlements, ma tristesse un océan. Suite à cela, on l'emmena à l'hôpital, mais elle était morte. Mes parents apprirent la nouvelle et accoururent, mais là aussi, ça n'allait pas la ramener... L'enterrement eu lieu un jour terrible.. Du moins un jour assez ironique, bien que fruit du hasard.... Un 12 Décembre. Forgive me !!! Suite à cet épisode, je devins comme froid. Distant du monde, qu'importe le soutient des autres. Je regrettais ce soir me disant que si j'avais refusé, elle n'aurait pas couru et donc ne serait pas morte... M'enfin... On ne peux pas changer ses mauvais actes en bon acte, le plus en moins et inversement, ce qui est fait est fait, on ne peux qu'accepter et tenter de passer le cap. Mais pour moi, c'était difficile. Oser passer le cap était pour moi comme oublier la demoiselle. Or, pour moi il en était hors de question. Elle était trop importante pour moi. A new way !!! Mes parents décidèrent de m'envoyer dans un pensionnat réputé de la région et m'envoyèrent ici. Puisqu'au fond, je continuais mes études, mais je ne savais pas trop quoi faire. Toujours accroché à ma soeur, j'étais devenu plus affirmé qu'avant, mais au fond, je ne faisais que cacher ma tristesse sous un sourire faux. Mon pendentif toujours sur moi, une photo de moi et Haku... Un souvenir gravé dans la pierre, après tout, il faut savoir graver ses peines dans le sable et ses joies dans la pierre... Ils voulaient que je reparte vers l'avant, puis que je réussisse dans la vie, comme Haku allait faire. Y arriverais-je ? Nous le verront bien, désormais âgé de dix-huit ans.
Dernière édition par Lelouch Lamperouge le Lun 27 Fév - 16:19, édité 5 fois