Cette sensation si bizarre au creux de moi, juste parce qu'il ma dit son nom, c'est si étrange.
Lorsque sa main entra en contacte avec la mienne, même si ce ne fut que pour trouver un livre et me le tendre, mon coeur fit un bon et une sorte d'extase m'envahit. L'ouvrage en question s'intitulait "Rendez-vous avec la mort" de Agatha Christie. Je ne l'avais jamais lu, je n'en connaissais même pas l'existence. Je lue le résumé avec attention. Celui-ci terminé, je souris au garçon m'accompagnant. Puis me dirigeant vers la caisse, payais les livres que j'avais pris. Je fus étonnée quand le vieux libraire enregistra les article car je le croyais endormi.
Une fois ceci fait je retournais près de Yuri, au moment même où de petites cloches au sommet de la fontaine de la place carillonnèrent 10h du matin. J'entendis soudain mon ventre protestait car je n'avais rien avalé ce matin. Je rougis et après une seconde d'hésitation, je pris la main de la merveilleuse rencontre du jour et sortis en sa compagnie sur la place.
Les cloches étaient là, entourée de petits personnages dansant au rythme de celles-ci.
Je les regardais avec un certain amusement, serrant toujours la main de Yuri dans la mienne. Elle était froide. Je remarquais bien vite un petit café d'où émanais une douce odeur de viennoiseries sorties du four. J'y emmenais le garçon qui m'accompagnait.
La table que nous prime se trouvait en bord de fenêtre.
Yuri, je suis si heureuse de t'avoir rencontré...murmurais-je si peu fort que ces paroles étaient presque impossible à entendre.Je continuais alors plus fort:
Dis moi, pour qu'elle raison es-tu venu sur cette minuscule île? Es-tu toi aussi inscrit à l'académie Renmei?Un bouffé d'espoir m'envahit en attendant sa réponse, je lui souris une fois de plus. En sa présence, il me semblait impossible d'être triste. Il était comme un soleil rayonnant et je m'en voulu d'avoir pleuré dans ses bras.

<< Es-tu toi aussi inscrit à l'académie Renmei? >> Je repris mon souffle et fermai les yeux...

Osaku, alors elle aussi elle y est . Mon visage s’adoucit une fois de plus et un sourire gai l'accompagner.

<< Eh bien, on peut dire sa... Je ne suis pas encore allé me présenter à l'académie car je viens juste d'arriver. >> Dis-je en faisant un grand sourire.Le café était très inspiré d'un café parisien, il y avait une petite table ou y était posé des journaux, des chaises tresser de couleur beige aux contours marron. Un paravent de couleur rouge bordeaux avec écrit en écriture cursive "Le bistro" & en dessous "pari no kafe", il y avait une veille radio diffusent des musiques des années 80. Du genre Down on the Street de Shakatak ou encore The Visitor's d'Abba. Mais une musique passa me rappela mes bons moments passés pour mes études en France et Mes Amis... Saving all my love for you de la mythique Whitney Houston. Je ne suis pas du genre à écouter ce genre de musique. Mais c'est celle que j'écoutais lors des moments que je passais accompagnée de mon premier amour. Une grande vague de souvenir m'envahit... Je repensais à tous ses moments passés... Et réfléchi... a Osaku, puis de Misa... Si je commets encore une fois les mêmes erreurs elle risque de disparaître et de me laisser encore une fois seul. Osaku, je pense que tous ça va beaucoup trop vite... C'est à cause de moi, je le sais bien que tu es tombé dans mes bras...

<< Osaku, tu sais, je ... Nous devons nous arrêter ici. je ne veux pas te perdre. Tu es la seule personne qui compte pour moi en ce moment. Mais j'ai peur que tout cela se passe trop vite. Nous avons encore beaucoup de temps pour mieux nous connaître. Le moment a tu seras près, et ... je serais près, nous pourrons enfin tomber amoureux...>> lui expliquait je

<< En attend cela, il faut apprendre à se connaitre... À se connaitre vraiment. >> continuais-je, Oui Osaku je t'aime, mais je suis sur que tu n'es pas encore prête pour tout ça. Je veux que ton amour envers moi se développe normalement et pas... comment dire? Superficiellement... Oui c'est ça que je veux dire... Et puis je pense que toi aussi tu as une personne cher que tu as aimée, et tu dois t'en remettre.

J'étais au septième ciel lorsqu'il répondit positivement à ma question. Si il était à l'Académie, nous nous verrions assez souvent. Il regardait la salle et paru plongé dans une profonde mélancolie. Pour moi, cette salle n'évoquait rien. Hormis, une photo ramené de Paris par mon père, dans un café en haut de la Tour Eiffel. Comme celles de tout ses autres voyages, je la revis dans le salon accroché au mur mais je chassais bien rapidement ce souvenir qui m'aurait fait penser à ma soeur.
Il sortit vite de sa rêverie. Je ne saurais d'écrire le sentiment que j'éprouvais lorsqu'il me dit ces mots:
"Osaku, tu sais, je ... Nous devons nous arrêter ici. je ne veux pas te perdre. Tu es la seule personne qui compte pour moi en ce moment. Mais j'ai peur que tout cela se passe trop vite. Nous avons encore beaucoup de temps pour mieux nous connaître. Le moment a tu seras près, et ... je serais près, nous pourrons enfin tomber amoureux...En attend cela, il faut apprendre à se connaitre... À se connaitre vraiment. "
J'étais à la fois si heureuse de compter pour lui, mais je trouvais cela si étrange. Au fond de moi je me demandais:
*Est-ce vraiment de l'amour?qu'est-ce que tu ressens?*ces questions je n'y trouvais aucunes réponses. Je ne savais que lui répondre et je finis par lui dire:
"Tu sais Yuri, je ne sais pas vraiment que répondre.Je ne sais même pas si ... Enfin bon, je suis très contente de compter pour toi, mais tu as raison nous nous connaissons a peine alors...Si tu veux je peux te monter l'Académie; en fait, je me demande si je en te considère pas comme.. un grand frère, ou quelques chose comme ça..."
En finissant ma phrase, je remarquais une affichette sur le comptoire:

Pari no kafe
Recherche une serveuse

Nous recherchons une serveuse à mi-temps, aucune expérience requise, minimum 14 ans. Payée 150 ren/ mois. Pour plus d’information, renseignez vous en caisse.

Je me dirigeais vers la caisse,sans m'excuser auprès de Yuri, et demandais si je pouvais exercer ce petit boulot.
A cause de ma taille, je dû monter mes papiers ce qui m’énerva au plus au point mais j'avais u job! Et je revins toute rayonnante auprès de mon Senpai.
"Excuses moi, au départ je suis venu en ville pour chercher un beito alors dès que j'ai remarqué l'affiche j'ai tenté ma chance. Donc revenons en à l'Académie, tu veux que je t'y conduise où pas?